La Journée internationale de la femme est un appel mondial à l’action pour l’équité. En tant qu’organe de presse doté d’une équipe de journalistes entièrement féminine, nous comprenons que l’équité va au-delà de l’égalité. Il faut reconnaître que la lutte pour les droits des femmes est intrinsèquement intersectionnelle, ce qui présente des obstacles systémiques uniques pour les femmes issues de communautés marginalisées. Dans de nombreux pays du monde, ces obstacles sont aggravés par d’importants obstacles culturels, juridiques et sociétaux.
Contraintes de se voiler les cheveux et le corps, les femmes iraniennes sont régulièrement confrontées à la violence sexiste et mènent une bataille historique pour leurs droits fondamentaux. Au Mexique, les taux de violence à l’égard des femmes et de féminicides continuent d’augmenter; Chaque jour, 10 femmes ou filles sont tuées. Pendant ce temps, aux États-Unis, les femmes sont aux prises avec la perte des protections de l’avortement et de l’autonomie corporelle.
Cette semaine, alors que le Global Press Journal célébrait 17 ans de journalisme international de classe mondiale, nos reporters locaux ont couvert les événements de la Journée internationale de la femme à travers le monde, de la marche Voz de los Desaparecidos (Voix des disparus) à Puebla, au Mexique, à un spectacle de sensibilisation à la violence sexuelle numérique à Katmandou, au Népal, et aux débats sur les questions cruciales des femmes à Port-au-Prince. Haïti. C’est un rappel brutal que la lutte pour l’équité des femmes ne consiste pas seulement à plaider en faveur du changement dans nos propres communautés; Il s’agit de défendre la liberté de toutes les femmes, partout dans le monde.
Voici quelques-unes des images les plus puissantes que nos femmes journalistes locales ont capturées alors que le monde entier se réunissait pour célébrer la Journée internationale de la femme.
—Shanté Cosme, directrice du contenu